One Piece Beginning
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 Eiko's Story || Solo

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AuteurMessage
Eikô Kuro
Pirate
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Eikô Kuro


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Fiche du marin
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MessageSujet: Eiko's Story || Solo   Eiko's Story || Solo EmptyJeu 25 Juil - 21:22

Le hasard me mène souvent à croiser la route de personnes extraordinaires et extravagantes. Mes rencontres me permirent de me donner une idée de la vie et de forger mon caractère. A présent, je vais vous conter l’une de mes histoires.

CHAPTER ONE : EIKO’S STORY – TWO THIEFS


Le heureux hasard m’emmena encore sur une île de South Blue. Je ne prenais jamais la peine de connaître ma destination car je trouvais cela plus excitant. Par chance, mon embarcation m’avait mené directement au port de l’île. Les marins ou les pirates m’observaient avec des yeux d’ahuri, surpris de voir un homme seul naviguer sur la mer. De nature indifférente, je ne fis pas attention à eux. L’île nommée Ascardio avait une ville où la Marine paraissait être omniprésente. Cependant, la Justice ne paraissait pas y apporter que du bien. Après plusieurs recherches infructueuses d’une auberge, je finis par assister au racket d’un modeste civil par trois marines. N’étant pas un bon samaritain, j’observai la scène se dérouler sous mes yeux. Le pauvre homme reçut un coup de poing dans le ventre car il avait osé protester. A demi-courbé, il se résolut à offrir sa bourse en échange de sa survie. Les trois ripoux, satisfaits de leur plan, cognèrent une dernière fois leur cible avant de partir ailleurs. Aucun passant n’était venu à la rescousse du misérable. Les habitants se contentaient de fixer droit devant eux un point inconnu et de vaquer à leurs occupations. Ces faibles n’avaient rien dans le pantalon. Quant à moi, je n’étais pas du genre à m’immiscer dans les affaires des gens, sauf dans certains cas particuliers. Soudain, je sentis un mouvement au niveau de ma taille, là où ma propre bourse était attachée. Ma bêtise me valait souvent des problèmes puisque j’étais persuadé que la seule vue de mon sabre parvenait à dissuader les roublards les plus coriaces. A première vue, cela n’avait pas suffi.

Les responsables de mon vol étaient deux voleurs. Ils étaient encapuchonnés et faisaient comme si de rien n’était. Par des pas rapides, ils établissaient une certaine distance entre moi, leur victime, et eux. Cependant, ils n’allaient pas s’en tirer à si bon compte. J’étais déterminé à récupérer mon bien, quitte à les poursuivre jusqu’au bout du monde. De manière indiscrète, je courus, en bousculant à l’aide mes bras ceux qui se trouvaient dans mon chemin, après les deux malandrins. Bien évidemment, ils comprirent que leur cible s’était rendu compte du larcin. Pour leur plus grand malheur, j’avais eu le temps de rattraper mon retard. La course poursuite pouvait commencer. Malgré ma vitesse de course plutôt élevée, les malfaiteurs échappaient toujours à ma portée. Un marine seul me barra la route en tendant les bras sur les côtés. C’était avec un puissant coup de poing dans le nez que j’étalai par terre. Les fuyards passèrent dans une intersection qui menait à ruelle qui se finissait par un cul-de-sac. Le jeu du chat et des souris était enfin terminé. Mon sabre sortit de mon fourreau. Il brillait dans l’obscurité. La ruelle laissait filtrer peu de lumière. Il n’y avait plus que les deux hommes et moi. Personne pour nous déranger et pour assister à la scène. Les voleurs frémissaient et semblaient peu enclins à se battre. Etant de bonne humeur, je me résolus à ne pas les tuer s’il le fallait.

« Alors, messieurs, je vous laisse deux choix. Soit je vous découpe en rondelles, soit vous me donnez bien gentiment ma bourse. Qu’en dîtes-vous ? »

« Ok. Je te la rends tout de suite. Inutile d’être aussi agressif. »

C’était le plus grand des deux qui avait pris la parole. Il s’avança dans ma direction tout en cherchant quelque chose sous sa veste. Une dague pendait à sa taille, signe que cet inconnu avait l’air de savoir se battre. Par mesure de prudence, je gardai mon sabre dans une main au cas où la situation m’échapperait de mon contrôle. Au bout d’un certain temps qui me parut interminable, je fus face à face avec le voleur. Il tendit sa main, ouvrit la paume et laissa ma bourse à ma portée. Ma méfiance me conseilla de lui porter un coup rapide, mais je n’avais pas le cœur à me battre ce jour-là. Au moment où ma main approchait pour reprendre mon objet, j’aperçus mon interlocuteur glisser sa main vers son poignard rapidement. De justesse, je parvins à esquiver une attaque en arc de cercle au niveau de mon torse et horizontale avant de frapper de la même manière mon adversaire. La portée de mon sabre, largement plus grande que la dague, me permit de faire mouche et de toucher le bras de mon opposant. L’inconnu fit tomber ma bourse à terre et recula avec crainte. Un rire me secoua pendant que je marchais en direction de mes victimes. Après un long soupir de fatigue, je leur dis. Si Keith était à mes côtés à l’heure actuelle, il n’aurait pas hésité à les massacrer, sans une once de pitié. La scène qui suivit m’étonna. Les deux hommes se prosternèrent à mes pieds en implorant la vie. Trouvant cette scène amusante, je pris la décision de les épargner, mais avant de leur émettre mon avis, je préférai m’amuser un peu.

« Pourquoi devrais-je accepter votre demande ? Vous m’avez volé quelque chose puis tenté de m’éliminer. »

« S’il vous plaît ! Nous vous serons redevables toute notre vie. Je vous le jure. Je m’appelle Daisuke Sasaki et lui, Haru.»

Pour je ne sais quelle raison, j’avais confiance en eux. Ils abaissèrent leur capuche pour exhiber leur visage. A première vue, c’étaient des frères car leur ressemblance était frappante. Le premier, le duelliste, avait une chevelure écarlate réunie en une queue de cheval. Ses yeux étaient d’un vert éclatant. Son corps avait l’air d’avoir une musculature bien développée. Une cicatrice barrait son œil droit et une barbe de trois jours couvrait son visage. Quant à son frère, il avait l’air plus jeune, le crâne rasé et n’avait pas de barbe. Il était svelte, mais son regard émeraude brillait d’ingéniosité et de ruse. Une longue carabine était attachée dans son dos. Accordant ma confiance à ces deux hommes, je me dis que s’ils avaient s’occuper de mon cas, ils m’auraient éliminé depuis des lustres. Contre toute attente, ils me guidèrent jusqu’à leur domicile. C’était une petite maison en bois construite dans un quartier composé principalement de roturiers et de marchands. Elle n’avait rien de particulière. Au lieu de tomber sur un guet-apens inattendu, une femme d’une quarantaine d’années environ déboula à l’extérieur de la demeure. Elle m’ignora totalement afin de réprimander les deux jeunes hommes qui étaient à mes côtés. Il n’y avait aucune animosité dans l’expression du visage de cette nouvelle arrivante. Elle paraissait même être heureuse de retrouver les deux gars. Une révélation illumina mon esprit. Cette inconnue était la mère des deux imbéciles. Ne voulant pas les embêter, je voulus prendre le chemin du retour pour retourner à la recherche d’une auberge. Une main retint mon épaule et me força à me retourner. Qu’est-ce que voulaient les deux voleurs ? En réalité, la mère voulait s’adresser à moi.

« Je suis désolée. Mes fils n’arrêtent pas de s’attirer des ennuis. Ils m’ont dit que vous évitez à la recherche d’un endroit où passer la nuit. Que diriez-vous de séjourner dans notre demeure en guise d’excuses ? »

« Ne vous inquiétez pas, madame. Ils n’ont rien fait de grave. Cependant, j’accepte votre proposition. »

La dame m’adressa un sourire puis m’accompagna à l’intérieur de sa demeure. Certes, je n’appréciai pas dépendre de civils, mais dans ce genre de situation, je n’avais pas trop le choix. Le soleil avait sa place à la lune et l’obscurité camouflait les environs. L’idée de chercher une auberge en pleine nuit et dans une ville grouillant de marines ne me séduisait pas.
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