Voilà déjà deux heure que j'avais perdue de vue les marines qui me poursuivaient, le navire affréter à ma chasse avait sans dout mieux à faire et j'avais trouvé et m'étais engagé sur un courant marin puissant, un courant qui -d'après une carte maritime- devait me mener à une prochaine île dont le nom m'était inconnue et non indiqué sur la dite carte, le mystère qui entourait cette île présageait quelques désagréments des plus sympatique et il me tardais déjà de mettre pied-à-terre pour jouir d'une de ces aventures qu'ont bien connue les explorateurs, mais pour l'heure j'étais encore sur mon bateau de pêche et le courant guidait l'embarcation, j'en profitait donc pour me plongé dans un petit sommeil sur le pont du navire.
La journée continuait dans le calme et le remous de la mer après une sieste au soleil que je m'étais permis, doucement je somnolais dans la torpeur du réveil les muscles engourdit et pétrit sur le bois du bateau. Doucement la faim se faisait ressentir et les envies de manger plus présentes, dans la cabine je fouillais dans les affaires et récupérait ce qu'il m'avait semblé apercevoir un peu plus tôt ; une canne à pêche et tout le matériel nécessaire pour ramener du bon poisson à bord. Un siège à la proue du bateau et la ligne dans l'eau je patientais que mon repas morde à l'hameçon, il n'était pas encore midi et je n'avais pas encore très faim, mais l'appétit venait doucement, mais surement. Après un temps indéfinissable à attendre qu'un malheureu poisson morde à pleine dents mon hameçon je commençais à désespérer de mon repas de midi et quand mon ventre commença à crier famine la mer répondit et un poisson vint se repètre de ma ligne de pêche, un gros poisson qui plus est, l'animal ne se laissait pas faire et tirait de toutes ses force pour sa liberté, mais la faim me guidait et je tirais d'un coup sec pour extirper mon repas de son milieu naturel, le poisson se retrouva en l'air au-dessus de mon bateau presque prêt à retomber directement dans ma poêle, mais ce fut sans compter sur quelqu'un de plus affamé que moi et qui ne connaissait pas la cuisine ; un serpent de mer jaillit des eaux trouble pour becté d'un coup et d'un croc mon repas et insatisfait de l'amuse gueule, il me regardait d'un oeil envieux.
Le monstre me regardait sur mon navire, il était sans doute trois fois plus gros que ma coquille de noix et il pouvait la briser en deux d'un coup de mâchoire, mais le bois ne doit pas être à son goût et de toute façon je ne l'aurais pas laissé faire à sa guise. J'attrape doucement mon arme posée au pied du mât et sans geste brusque je tire mon sabre de son fourreau que je laisse tomber sur le plancher, arme à la main je suis prêt à affronter le monstre qui me fait face, ce serpent de mer qui ne peut faire qu'une bouché d'homme normal allait se frotter à quelqu'un qui ne se laisserait pas facilement faire. Le combat s'engage, il recule et me fond dessus tous crocs dehors, je saute à sa rencontre et de mon arme stop son avancé en repoussant un de ses crocs, en balançant mon sabre d'un revers je le dévie de sa trajectoire et lui sectionne une dent qui retombe lourdement dans l'eau comme son propriétaire, dans le soucis du bien-être de mon embarcation je plonge à mon tour pour continuer le combat sous l'eau. Sous l'eau, à l'avantage du reptile géant, je gardais le contacte visuelle avec lui, il me tournait autour et à nouveau il fondit sur moi de toute sa puissance, arme à la main je pare ses crocs et recule pour lui assener un coup de sabre sur le flanc, le coup lui arrache un cri étouffé dans l'océan et de la plaie s'écoule un nuage rouge. Le combat faisait rage, mais sous l'eau je ne pouvais pas combattre éternellement et je devais en finir au plus vite, alors en me jetant dans la gueule du monstre je tente d'enfoncer mon sabre dans son palais pour atteindre son cerveau, alors que lui tente à tout prix de me gobé et la gueule ouverte se jette sur moi et jaillit hors de l'eau, mais je parviens à temps à l'embroché et mettre un terme à notre combat.
Sur la carcasse de mon adversaire vaincu je reprends mon souffle et souri à ma victoire, je regarde autour de moi et repère mon bateau qui s'était éloigné, mon estomac me rappel à l'ordre et me crie sa faim, par chance je me trouve actuellement sur mon repas, j'en découpe une belle pièce de viande et laisse à l'abandon et aux mouettes les restes du vaincu et avec sur le dos mon sabre et mon dut je retourne à la nage sur mon embarcation. Sur le pont de mon navire je fais sécher mes vêtements et dans ma cabine je prépare la viande si durement gagné et après mon repas je reprendrais la mer en direction de ma destination initiale.