Des animaux sauvages [Flashback]

Comme un abruti, il se retrouvait dans une forêt où les animaux sauvages étaient très courant. C'était bizarre tout ça... ça lui rappelait des anciens souvenirs, notamment l'île d'Ohara. Pourquoi des lieux comme celui-ci existaient-ils ? Une question qu'il se posait lorsqu'il se retrouvait justement dans cette situation bien embarrassante et surtout dangereuse. Plusieurs animaux pistaient des être humains afin de dévorer leurs chaires et quant au Révolutionnaire, ça n'allait tout simplement pas tarder à être son cas. Celui-ci gardait son sangr-froid, espérant trouver une sortie, pour pouvoir gentiment partir.

Son bateau était resté au port, comme il l'avait voulu, mais le problème, c'était où vers le port ? L'île était grande et ça n'allait pas être facile quand on savait pas comment partir. Marchant de quelques pas dans cette forêt très dangereuse, il se retrouvait rapidement dans une situation féline. De jeunes léopards l'entouraient, et marchaient autour de lui comme si ils allaient le dévorer et le laisser en plusieurs morceaux. Shindo, le jeune blondinet, se demandait bien quoi faire à présent, même si il avait son fruit du démon pour le soutenir. Il observait attentivement autour de lui tout ce qu'il avait pour les utiliser.

Il voyait alors à sa gauche plusieurs rochers, et quelques cailloux, ça allait sûrement faire l'affaire. Utilisant son bras droit pour le bouger verticalement de quelques centimètres, un cyclone de vent se formait pour ensuite prendre tous les cailloux avec lui avant que tout arrive sur les animaux sauvages. Certains se font alors blesser, ne pouvant plus bouger et d'autres courraient rapidement en arrière de quoi prendre de la distance. Pendant ce temps, Shindo décidait de partir, prendre la fuite, c'est tout ce qui lui restait à faire. Il courut alors à toute vitesse en ligne droite avant de se retrouver vers le port où son bateau se trouvait.

Les animaux sauvages étaient toujours derrière, à lui courir après afin de pouvoir faire du Révolutionnaire, leurs repas. Celui-ci envoyait encore quelques cyclones dans leurs directions pour les blesser et pour les ralentir en même temps. Il n'avait plus d'autre solution que de quitter cette île, c'était vraiment la panique... et puis... il ne pouvait pas mourir ici, il n'avait pas que ça à faire. Ayant échappé de justesse à toutes ses bestioles qui lui courraient après, son bateau naviguait pour prendre le large, se disant qu'il avait bien fait de courir avant de se tourner vers ses créatures et leurs faire signe de la main pour dire quelques mots.

« À plus tard les gars... on se reverra sûrement une prochaine fois ! »