“" Le surpassement humain Marinford .
„Un soleil radieux, des rayons du soleil étincelant, le son apaisant de l’océan et son odeur salée. Les mouettes qui virevoltent de leurs cris aiguë. Une île paradisiaque, remplie de palmiers, ancrés sur une plage de sable fin. Y-a-il plus belle endroit pour passer son jour de repos ? Il est difficile de trouver mieux. Les vagues s’élancent et emportent des grains de sable avec elles. Ce petit coin de paradis s’appelle Coroa Island, sur l’une des voies de la Grandline. Cet îlot, en forme de « G » connait une étendu de plage sur toute sa circonférence et une petite forêt en son centre. Non loin de la boucle du « G » se trouve une petite maison qui n’en est pas moins de mauvaise facture. Un toit de tuiles rouge en forme de chapeau longe des battisses de brique beige de la demeure. Caché par quelques cocotiers, cet habitat est complètement protégé du soleil. Non loin de la porte d’entrée se trouve une chaise de plage, ainsi qu’une minuscule table ronde et bleu qui a à peine de quoi pouvoir faire tenir une délicieuse limonade ainsi qu’un étrange escargot sur lequel est accroché un cordon téléphonique. En regardant de plus près, il s’agit évidemment d’un escargophone, le moyen de télécommunication le plus efficace et moderne du globe. Celui est de couleur beige et porte vraisemblablement une perruque brune ainsi que du maquillage aux yeux. Un style, bien féminin. La personne qui dort à côté de cette table s’ennuie très vite lorsqu’elle entendit le son « pulupulupulu pulupulupulu ». Elle qui s’est à peine assoupi, contraint de répondre à cette appelle qui est probablement très important. Cherchant à tâtons l’escargophone, la personne passe d’une position allongé à assise. On voit dès à présent les cheveux courts en broussaille de cette personne. Il est peu commun de voir une personne avec des cheveux d’une couleur aussi paille. Prenant l’escargophone d’une main haletante, la personne qui n’est pas encore dévoilé par la lumière du soleil, met ses lunettes, tapis dans l’ombre du palmier. Faisant tourner en boucle le câble de l’escargophone de manière enfantine, la personne s’avance vers la table et dévoile son sourire de jeune homme malicieux à la lumière :
« Pulupulupulu…Kocha - Alloooo ? Qui peut bien être à l’appareil ? Hmm ♫
- C’est moi. Ne soit pas stupide koso.- Oh, c’est vous boss ? C’est vrai que c’est votre escargot personnelle du coup j’aurai peut être du m’en douter. Cela signifie aussi que vous avez, sans mal, sécurisé cette ligne ♪ …
- J’ai des informations me signalant que les révolutionnaires auraient développé ces nouveaux escargophone pouvant intercepter les conversations. Je ne fais que jouer prudence.- Est-ce vraiment les révolutionnaires dont vous vous méfiez boss ? Ou devriez-vous peut être regarder au dessus de votre épaule ?
- Pas le temps de jouer avec toi. Tu es convoqué à Marinford. Tu seras briefé là bas.- Quelque chose d’amusant va arriver ?
- On peut dire ça. Et gamin, arrête de te faire du menu fretin tes jours de congé, c’est puéril…
….Kocha »« Les gars, vraiment excusez moi…j’ai oublié de vous déclarer en état d’arrestation. Du coup je ne suis pas un marine en règle. Je libère ceux, qui sont capable de partir, fufufufu ♪»
Sur ces derniers mots, le jeune pose l’escargot en souriant et derrière lui se trouve une pile d’hommes, entassés, brisés, comme des sacs, aux vêtements sagouin, qui sentaient fortement l’alcool. Pas de doute sur eux, ces gens étaient des pirates. Seulement, notre ami ne leur a pas laissé le bénéfice du doute.
Quelques jours plus tard…
L’arrivé au quartier général s’est fait sans encombre. Bien que quelques pirates fussent sur son chemin, il n’y voyait guère obstacle. Pour lui, personne ne s’oppose à la marine. C’est la puissance exécutive de la justice. Et il n’y a rien aussi de la justice. C’est dans cette optique, ce lifestyle « Justice is the best » que le dit marine avait accosté pour arpenter les couloirs du HQ depuis déjà cinq minutes. C'est-à-dire que ce n’est pas un petit endroit. Un immense château aux influences nippones de l’époque Edo. Voilà ce qu’est le magnifique édifice de Marinford. Le visage de la marine, sa fierté. Un peu perdu dans cet endroit où il n’a pas habitude d’aller. Après avoir demandé son chemin il fini par trouver le bureau du dit boss. Il entre et se fait tout de suite sermonné de ne pas s’être vêtu de l’uniforme officiel. Il était à la place en costard trois pièces, mais, sans veste. Il s’assoit alors et commence à prendre le thé avec son supérieur. Son supérieur, lui, tapis dans l’ombre de son bureau. Impossible à décrire:
« Je n’aime pas la tournure dont prennent les choses.- J’avais compris Boss, sinon vous ne m’auriez pas fait venir jusqu’ici.
- Je t’ai fait venir parce que tu es ici grâce à moi, et s'en est de même pour la suite…- Cela va de soit, très cher.
- Tu feras moins le malin quand tu sauras ou tu es assigné.- Hm. ?
- Une île déserte. Officiellement tu y es envoyé pour voir s’il est possible d’y établir une base de défense.- Et ma partie préférée arrive...
- Officieusement, ton bateau fera escale sur une autre destination dont tu ne connaîtras pas le chemin et ne sera pas praticable par log pose.- Pour y faire ?
- As-tu déjà entendu parler de la voie des six pouvoirs ?- Non, mais on dirait bien un conte de fée dont j’ai envie d’entendre l’histoire ♪ »
Et les deux marines continuent de discuter, dans la discrétion la plus totale des bureaux du Qg